Articles sur mon nouveau livre (juillet 2021)

Quatre articles ont récemment paru au sujet de mon livre 2020 : L'année où le cyberpunk a percé.

Revue d'Art et de Littérature, Musique

"une lecture poétique, dans une impasse infinie dont l’issue n’existe pas, par définition cyberpunkie"

"Mathias Richard est un artiste : il a le don de l’aphorisme, celui de la trouvaille poétique et la clairvoyance de l’observateur à l’étroit dans ses confinements sanitaires, sociaux et littéraires."

"Mais comme au music-hall, par un effet d’humour incorrigible, tout se termine en chanson. Sans promesse toutefois… "

"une vision à la fois héritée d’une vieille filiation et retournée mille fois dans sa tombe aux interstices d’écrits"

Patrick Cintas, RAL,M, 11 juillet 2021


Obsküre Digital Media

"Ecriture post-automatique, certifiée vraie."

"Ce livre est centré sur l'année 2020 et la décadence collective qui l'a accompagnée."

"Les phrases lapidaires cernent le propos et font mal."

"Page après page, le narrateur se maintient (...) dans le processus de passation aux autres."

"Les passages fulgurants se fraient un chemin dans l'accumulation et le récit passe par plein d'états et de formes. L'ensemble fait sens et c'est un journal de bord qui change de ce qu'on a et qu'on va avoir. Il est un écho, une marque de ce qui s'est joué, (...) nécessaire dans l'œuvre produite depuis tant d'années."

Sylvain Nicolino, Obsküre Digital Media, 9 juillet 2021


Libr-critique

"Ne cherchez surtout pas un journal-de-confinement : l'année 2020 n'a pas eu lieu... En un temps où la modernité est en déroute, terrassé par le Drapeau Noir, voici un journal envide qui est aussi carnet de survie et recueil poétique."

Fabrice Thumerel, Libr-critique, 11 juillet 2021


Lithoral.fr

"Fièvres et expériences de la fièvre y sont consignées chaque fois comme l’imminence d’une fin et d’un commencement. De brèves prières, et toujours la puissance d’un chant, la volonté de chanter même si « Survivre, c’est assister au désastre un peu plus longtemps »."

"Partout dans ces textes, une compréhension intuitive de la réalité. Pour Mathias Richard, avant de ne plus penser, de refuser de penser, de ne plus rien écrire, de ne plus rien vouloir [ou pouvoir] écrire, de ne plus faire parler le souffle ; avant de fuir les apparences, l’urgence est de girer dans les couleurs, de courir tel un funambule au-dessus du vide et de ses hypothèses."

Régis Nivelle, Lithoral.fr, 13 juillet 2021

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